Contre indication à la réflexologie
Même si la réflexologie est une source intarissable de bienfaits, elle peut être contre-indiquée dans certaines situations :
Même si la réflexologie est une source intarissable de bienfaits, elle peut être contre-indiquée dans certaines situations :
Alors qui ne peut pas ?
- Durant les trois premiers mois de grossesse ; au-delà de cette période, elle représente un allié de taille pour accompagner la femme enceinte dans les désagréments de la grossesse (nausées, troubles du sommeil, anxiété et stress, douleurs musculaires ou articulaires). Les pressions/stimulations effectuées devront être plus douces. Les zones réflexes de l’utérus et des ovaires ne devront être travaillées qu’une fois le terme arrivé.
- En cas de thromboses, présence d’un caillot de sang dans les veines, de phlébite aiguë ou d’inflammation des veines de la jambe.
- Après une greffe d’organe, tant que le risque de rejet subsiste.
- Sur les personnes récemment opérées : il faut généralement attendre trois mois, le temps que le renouvellement cellulaire se produise. Cependant, certains établissements hospitaliers recourent à la réflexologie pour réduire le stress des patients. Dans ces cas, la pratique est possible, car elle est conjointe à un suivi médical proche. Lors de la séance, seules les zones réflexes associées aux organes opérés sont travaillées en douceur.
- Sur les personnes blessées au pied et ayant subi récemment un traumatisme sur cette partie du corps. Toutefois, la réflexologie palmaire est tout à fait envisageable.
- Sur les personnes faibles ou affaiblies par une pathologie grave : une maladie cardiaque, une insuffisance hépatique, une insuffisance rénale, des troubles de la circulation lymphatique.
- En présence de calculs dans la vésicule biliaire et les reins : les zones réflexes de ces organes doivent être évitées, car les calculs peuvent bouger et provoquer de terribles douleurs.
- En cas d’infection grave et de maladie s’accompagnant de forte fièvre.
- En cas de fièvre : cette dernière indique que l’organisme, et plus précisément le système immunitaire, est déjà dans un processus de régulation/guérison ; il faut donc attendre que ce processus soit terminé.